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je trop croire 26032015

Journée d’étude

Jeudi 26 mars 2015

Salle de la rotonde,
18 rue Chevreul, 69 007 Lyon

 
Trop croire, les limites de la croyance en débat - Interviews des participants de la journée d'étude du 26 mars 2015

Réalisé en marge de la journée d'étude organisée à Lyon en mars 2015, le film "Trop croire" propose une série d'interviews des chercheurs invités à cette occasion et offre une première façon d'approcher ces questions complexes.

Avec les participations de Boris Klein (ISERL, Labex COMOD), Lionel Obadia (ISERL, Lyon 2), Anton Serdeczny (EPHE), Nicolas Balzamo (U. Neuchatel), Nicolas Guyard (Lyon 2, Labex COMOD, LARHRA), Aurélie Chabrier (INALCO).

Réalisation : De Fil en Film.

Voir la vidéo intégrale

 

Trop croire
Les limites de la croyance en débat

Programme

Affiche conf-23Mars2012

Penser le compromis en contextes islamiques. La construction politique de la « différence » (Ihktilâf).
Mohamed Nachi

 Il s’agira, entre autres, de discuter et de rendre explicites les conditions qui doivent être réunies pour que les sociétés islamiques se modernisent tout en restant fidèles à leurs héritages (turâth) et traditions, à leurs cultures et valeurs morales, c’est-à-dire en somme à construire des compromis viables entre leurs traditions et les exigences de la modernité avancée.

Élaborer des compromis peut être aussi une manière de congédier certains vieux démons qui guettent toute société : intransigeance des visions littéraliste et absolutiste des textes sacrés, refus de l’altérité, rejet de la différence et du pluralisme, etc. Dans cette perspective, penser le compromis relève d’un véritable défi, car c’est, sans doute, autour du renoncement à tout Absolu religieux et du respect d’un pluralisme actif favorisant le développement des processus de démocratisation que se sont cristallisés avec le plus de vigueur bon nombre de tensions dont l’apaisement passe justement par l’invention des figures de compromis ; ce que l’on propose d’appeler construction politique de la différence (Ikhtilâf).

C’est  en définitive le compromis comme renonciation à la « solution parfaite » et comme  rempart contre les formes d’extrémismes et la violence qu’il faut en faire un élément constitutif du vivre-ensemble. Un tel compromis devrait être perçu comme une  promesse plutôt que comme  une  compromission.

Les  soulèvements  des  peuples  arabes  et  les  processus  de démocratisation en cours confèrent à cette exigence de penser le compromis comme une grande actualité.

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AFFICHE

Colloque international

ORGANISÉ PAR LE CENTRE D’ÉTUDE DES RELIGIONS | UFR CRAC / UNIVERSITE GASTON BERGER DE SAINT-LOUIS (http://www.cer-ugb.net)
L’INSTITUT SUPÉRIEUR D’ÉTUDE DES RELIGIONS ET DE LA LAÏCITE | UNIVERSITÉS LYON 2 ET LYON 3 (http://www.iserl.fr)
ET L’ÉCOLE DOCTORALE ET.HO.S | UNIVERSITÉ CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR (http://www.ucad.sn)

Le monde francophone compterait 258 millions de musulmans, univers disparate reflétant, dans bien des aspects, la diversité du « fait islamique », celle des préoccupations existentielles, politiques et sociales, et le dynamisme des communautés. Ce colloque interroge les religiosités de ces croyants et le regard porté par les sociétés dans lesquelles ils vivent.

coll-genev0Selon les dernières données du Pew Institut, 82% des personnes dans le monde sont affiliées à une religion. Comme le souligne la Déclaration sur l'élimination de toutes formes d'intolérance et de discrimination fondées sur la religion ou la conviction des Nations Unies « la religion ou la conviction constitue pour celui qui la professe un des éléments fondamentaux de sa conception de la vie » et donc élément central de son identité.

Dans son article 5 la même Déclaration affirme que « les parents ou, le cas échéant, les tuteurs légaux de l'enfant ont le droit d'organiser la vie au sein de la famille conformément à leur religion ou leur conviction et en tenant compte de l’éducation morale conformément à laquelle ils estiment que l'enfant doit être élevé ». (alinéa 1), mais aussi que « les pratiques d'une religion ou d'une conviction dans lesquelles un enfant est élevé ne doivent porter préjudice ni à sa santé physique ou mentale ni à son développement complet » (alinéa 3).

Le sujet et très actuel comme le montrent les sentences de la Cour européenne des droits de l’homme sur le sujet, par exemple: Folgerø et autres c. Norvège, Appel-Irrgang et autres c. Allemagne, Lautsi et autres c. Italie, Zengin c. Turquie, ou le rapport du Rapporteur spécial des Nations Unies sur la liberté religieuse sur la question de la liberté de religion ou de conviction dans le contexte de l’enseignement scolaire (2010).

Ce colloque se propose les relations entre l’enfant et la religion sous quatre angles : historique, juridique, la transmission et l’enseignement.

Retrouvez ci-dessous en pièces jointes les résumés et le programme complet du colloque

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Le temple de Lougquan de Beijing se situe aux Collines de Phénix de l'arrondissement de Haidian de la ville de Beinjing; fondé dans les premières années de Ingli de la dynastie des Liao avec plus de mille ans d'histoire jusqu'à présent.

 

Le 11 avril 2005, le Temple de Longquan a rouvert sa porte en tant que lieu des activités religieuses. Le Vénérable Maître Xuecheng, vice-président de l'Association des Bouddhistes de Chine, y a été invité comme bonze supérieur du temple.

 

De nos jours, les moines mènent encore une vie traditionnelle dans les montagnes. Cependant, ils diffusent l'enseignement bouddhique et la culture traditionnelle d'une manière moderne, se consacrent à la charité, et guident les êtres en difficulté dans un monde souillé vers la paix intérieure.

LA RUE, UN ESPACE CONFESSIONNEL ?

titre-religion

Débat sur la place du religieux dans la ville contemporaine
Au Rize, l'amphithéâtre
Vendredi 28 février, de 9h à 17h

La place du religieux dans l'espace public est un sujet éminemment politique, interrogeant autant les chercheurs que les collectivités publiques, qui constatent, font des choix, agissent. Cette rencontre proposée par le Rize et l'Iserl (Institut supérieur d'étude des religions et de la laïcité) donne la parole aux historiens et sociologues des religions, français mais aussi d'autres pays européens ou extra-européens, pour élargir les angles de vue de ce débat.

 

10h : Introduction de la journée.

10h15 - 12h30 : LE POIDS DE L'HISTOIRE EN FRANCE

• Quelle religion pour la rue à l'époque moderne ?

• La croix sur le pavé : processions et manifestations catholiques en France aux 20e et 21e siècles.

• Les catholiques et la ville : le « laboratoire » villeurbannais, des années 1950 aux années 1970.

12h30 - 14h : Pause déjeuner

14h - 16h15 : LA VISION HORS D'EUROPE

• La Tunisie

• Le Sénégal

• L'Algérie

16h30- 17h30 : CONCLUSION : Ici et maintenant

• La rue aujourd'hui : un espace confessionnel à Villeurbanne et à Lyon ?

• Ville et religion au 21e siècle : laboratoire de la « nouvelle » diversité. Enjeux, défis, potentialités


La journée de débat est ponctuée de performances slam UnDeuxGround proposées par Lee Harvey Asphalte, slameur (Cie Gertrude II).

Pour plus d'information, cliquez ici.

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